
Les Entrevues Lounge Urbain : Marie Ange Barbancourt
L’invitée du jour est la cinéaste Marie Ange Barbancourt, dont son tout premier long-métrage « Pour que plus jamais » a pris l’affiche le 16 mai dernier. Elle nous parle notamment de la réception que son film a connu depuis sa sortie, de ses intentions de réalisation et de la réalité sociale en Haïti.
Pour en savoir plus sur Marie Ange Barbancourt et son nouveau film, visitez ces pages web :
www.facebook.com/pourqueplusjamais
www.productionszma.com
Les Entrevues Lounge Urbain, présentées par Keithy Antoine alias Lady SpecialK, sont des capsules web pour découvrir les artistes, les personnalités et les diverses activités de la métropole. La caméra et le montage par Jennyfer Martyn.
Meilleur cinéma
5 mai 2016 at 11:38Bonjour,
Nous, artistes et associés, professionnels du cinéma, ayant travaillé aux côtés de Marie-Ange BARBANCOURT, souhaitons vous informer d’une décision publique à l’encontre de cette productrice, concernant le tournage du film ‘Secret d’Hiver’.
Notre action a pour but de rendre cette décision publique connue de toutes celles et ceux qui ont travaillé avec Marie-Ange BARBANCOURT, de près ou de loin, ou qui seraient amenés à le faire dans le futur ; afin que la situation ayant fait l’objet de la présente décision d’un Tribunal envers cette productrice malhonnête ne se reproduise pas.
Marie-Ange BARBANCOURT a démontré être une productrice dont les valeurs ne présentent aucune fiabilité, bafouant l’image du cinéma québécois, par ses actions irresponsables.
Nous en voulons pour preuve la décision publique du Tribunal d’arbitrage de l’Union des Artistes, par laquelle nous apprenons que cette productrice n’a pas payé ses comédiens et n’a pas respecté les règlements en vigueur lors du tournage du film ‘Secret d’Hiver’ en 2015.
Sa responsabilité ayant été engagée, elle doit encore à ce jour la somme de 79159,34 $.
Nous apprenons qu’elle a usé de mensonges pour se prévaloir de ses obligations. Ce n’est, en outre, pas la première fois que cette productrice semble agir ainsi, comme les témoignages d’anciens collaborateurs l’indiquent.
En outre, cette productrice s’avère ne pas respecter le monde du cinéma dans son ensemble, dès lors qu’elle se joue de ses règles élémentaires, c’est-à-dire mener un projet artistique à son terme en reconnaissant et en rémunérant le travail de son équipe et de ses artistes.
Merci infiniment de nous aider à faire de notre monde du cinéma une place d’expression artistique saine et une place d’affaires toute aussi saine.
Des artistes et associés lésés.
– Lire la SENTENCE ARBITRALE de l’Union des Artistes, rendue le 17 mars 2016: http://canlii.ca/t/gp009